Dans l'enceinte sévère d'un centre de détention pour mineurs, les débuts audacieux de Zeno Graton dévoilent une histoire d'amour poignante. Joe, brillamment interprété par Khalil Ben Gharbia, fait face aux murs sévères après de nombreuses tentatives d'évasion. L'arrivée de William, un extraordinaire briseur de règles interprété par Julien De Saint Jean, déclenche un éveil émotionnel chez Joe. Au milieu des uniformes orange déshumanisants, leur lien s'épanouit en un refuge clandestin, défiant le système. Le film résonne de passion et de tendresse, décrivant la lutte intime contre les règles et la surveillance. Des plans oppressants capturent l'atmosphère aride de la prison, soulignant la proximité pressante de leur amour interdit. Les scènes nocturnes, qui rappellent le classique court métrage queer de Jean Genet "Un Chant d'Amour", font magnifiquement écho aux contraintes de leur environnement. Bien que le conflit dans la relation de Joe et William penche vers le trope du Sad Gay, il gagne en complexité grâce aux tentatives d'évasion récurrentes de Joe, alimentées par son amour pour William. Le film explore l'institutionnalisation de l'affection dans le contexte difficile de la romance juvénile au sein du centre de détention. THE LOST BOYS laisse entrevoir la nature éphémère de leur amour, une évasion fugace dans les limites de leur incarcération temporaire, offrant une représentation nuancée de l'entrelacement de l'amour et de l'enfermement.
Dans un centre de redressement pour mineurs, un lieu régi par l'interdiction de tout contact physique, Joe et William tombent amoureux.
Dans l'enceinte sévère d'un centre de détention pour mineurs, les débuts audacieux de Zeno Graton dévoilent une histoire d'amour poignante. Joe, brillamment interprété par Khalil Ben Gharbia, fait face aux murs sévères après de nombreuses tentatives d'évasion. L'arrivée de William, un extraordinaire briseur de règles interprété par Julien De Saint Jean, déclenche un éveil émotionnel chez Joe. Au milieu des uniformes orange déshumanisants, leur lien s'épanouit en un refuge clandestin, défiant le système.
Le film résonne de passion et de tendresse, décrivant la lutte intime contre les règles et la surveillance. Des plans oppressants capturent l'atmosphère aride de la prison, soulignant la proximité pressante de leur amour interdit. Les scènes nocturnes, qui rappellent le classique court métrage queer de Jean Genet "Un Chant d'Amour", font magnifiquement écho aux contraintes de leur environnement.
Bien que le conflit dans la relation de Joe et William penche vers le trope du Sad Gay, il gagne en complexité grâce aux tentatives d'évasion récurrentes de Joe, alimentées par son amour pour William. Le film explore l'institutionnalisation de l'affection dans le contexte difficile de la romance juvénile au sein du centre de détention. THE LOST BOYS laisse entrevoir la nature éphémère de leur amour, une évasion fugace dans les limites de leur incarcération temporaire, offrant une représentation nuancée de l'entrelacement de l'amour et de l'enfermement.