L’histoire de l’Institut du Cinéma du Mozambique est indissociable du combat pour l’indépendance incarné par le président Samora Machel et le Frolimo (Front de Libération du Mozambique). Les films, qui témoignent de l’engagement du pays dans le socialisme et de son combat pour l’indépendance, sont archivés dans un lieu presque abandonné, à l’image du pays. Ceux qui les ont créées, réalisateurs, scénaristes, techniciens, reviennent à l’Institut pour revisiter ces images et évoquer l’histoire d’une cinématographie qui est un témoignage unique sur le pays, ses luttes et les guerres qu’il a subies. La mort du président Samora marque la fin d’un cinéma auquel le pouvoir en place préfère désormais la télévision. Le film est une réflexion sur la difficulté des pays sous-développés à survivre dans un monde d’images.
Documentaire
1h
tous publics
FR
FR
L’histoire de l’Institut du Cinéma du Mozambique est indissociable du combat pour l’indépendance incarné par le président Samora Machel et le Frolimo (Front de Libération du Mozambique). Les films, qui témoignent de l’engagement du pays dans le socialisme et de son combat pour l’indépendance, sont archivés dans un lieu presque abandonné, à l’image du pays. Ceux qui les ont créées, réalisateurs, scénaristes, techniciens, reviennent à l’Institut pour revisiter ces images et évoquer l’histoire d’une cinématographie qui est un témoignage unique sur le pays, ses luttes et les guerres qu’il a subies. La mort du président Samora marque la fin d’un cinéma auquel le pouvoir en place préfère désormais la télévision. Le film est une réflexion sur la difficulté des pays sous-développés à survivre dans un monde d’images.