Le 29 août 2005, Katrina, l'ouragan le plus meurtrier de l'histoire des Etats-Unis, ravage la Nouvelle-Orléans. La ville est réduite à néant et vidée de l’intégralité de ses habitants. La catastrophe devient rapidement l’occasion d’une renaissance, d’un nouveau départ, où chacun a sa carte à jouer. A situation d’urgence, mesures d’urgences, et le désastre devient aussi l’opportunité de mener, en accéléré, une politique ultra libérale, avec pour effet d’intensifier les inégalités économiques, sociales et raciales préexistantes. Au-delà de la Nouvelle-Orléans elle-même, la reconstruction dévoile les fractures sociales d’un pays entier, où les écarts n’ont de cesse de se creuser, et ce malgré les années Obama.
Le 29 août 2005, Katrina, l'ouragan le plus meurtrier de l'histoire des Etats-Unis, ravage la Nouvelle-Orléans. La ville est réduite à néant et vidée de l’intégralité de ses habitants.
La catastrophe devient rapidement l’occasion d’une renaissance, d’un nouveau départ, où chacun a sa carte à jouer.
A situation d’urgence, mesures d’urgences, et le désastre devient aussi l’opportunité de mener, en accéléré, une politique ultra libérale, avec pour effet d’intensifier les inégalités économiques, sociales et raciales préexistantes.
Au-delà de la Nouvelle-Orléans elle-même, la reconstruction dévoile les fractures sociales d’un pays entier, où les écarts n’ont de cesse de se creuser, et ce malgré les années Obama.