Anna, jeune mère ravissante et frivole a rendu sa vie de famille chaotique avec ses aventures passionnées. 30 ans après, ses enfants sauront-ils lui pardonner? Été 1971, à Livourne. Anna, ravissante mère de famille un peu frivole, vient de remporter le concours de beauté d'une station balnéaire sous l'œil avide des mâles du coin. Crise de jalousie du mari et scène de ménage à l'italienne, bruyante et théâtrale. Voici Anna partie du domicile conjugal avec ses deux enfants qui ferment les yeux sur ses frasques. Prête à tout pour les élever en bonne mamma, elle sera exploitée par un aristocrate, faux producteur de cinéma, et enchaînera les petits boulots. On mesure les dégâts trente ans plus tard lorsque son fils et sa fille se retrouvent à son chevet et revoient défiler leur enfance. La prima cosa… n'est pas un film ordinaire mais plutôt un tourbillon de vie, proche des comédies italiennes des années 1960. Parfois, on se perd dans les méandres d'une intrigue brouillonne et des nombreux retours en arrière, mais le charme opère. Anna jeune (Micaela Ramazotti) ou vieillissante (Stephania Sandrelli) fait passer l'émotion dans cette leçon d'amour qui se résume à un réjouissant « famille je vous aime ». Malgré toutes les anicroches de la vie.
Anna, jeune mère ravissante et frivole a rendu sa vie de famille chaotique avec ses aventures passionnées. 30 ans après, ses enfants sauront-ils lui pardonner?
Été 1971, à Livourne. Anna, ravissante mère de famille un peu frivole, vient de remporter le concours de beauté d'une station balnéaire sous l'œil avide des mâles du coin. Crise de jalousie du mari et scène de ménage à l'italienne, bruyante et théâtrale. Voici Anna partie du domicile conjugal avec ses deux enfants qui ferment les yeux sur ses frasques. Prête à tout pour les élever en bonne mamma, elle sera exploitée par un aristocrate, faux producteur de cinéma, et enchaînera les petits boulots. On mesure les dégâts trente ans plus tard lorsque son fils et sa fille se retrouvent à son chevet et revoient défiler leur enfance. La prima cosa… n'est pas un film ordinaire mais plutôt un tourbillon de vie, proche des comédies italiennes des années 1960. Parfois, on se perd dans les méandres d'une intrigue brouillonne et des nombreux retours en arrière, mais le charme opère. Anna jeune (Micaela Ramazotti) ou vieillissante (Stephania Sandrelli) fait passer l'émotion dans cette leçon d'amour qui se résume à un réjouissant « famille je vous aime ». Malgré toutes les anicroches de la vie.